Michel Beaudin dit :

Toutes nos condoléances
Chères cousines Huguette, Paula, Anita et Réjeanne, Cher cousin Gilles, C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris le décès de Raynald, que j’ai bien reconnu sur la photo ci-dessus, un visage qui m’a ramené à des souvenir bien lointains, ceux de mon enfance où nos familles se visitaient à l’occasion. Il me paraît ressembler tellement à tante Antoinette, avec une bonne touche d’oncle Amédée aussi. Amédée étant le plus âgé de la famille de Médard et de Rosa, et mon père, Réal, étant le plus jeune de cette famille, il était bien normal qu’à cette époque, Raynald soit plus âgé que moi (75 ans maintenant). Je me souviens particulièrement qu’il était de l’âge des fréquentations, de ces jeunes que le violon de mon père faisait danser, une activité dont tous les Beaudin raffolaient. Comme c’est le cas pour plusieurs des cousins et cousines Beaudin (nous étions si nombreux dans cette grande « tribu »), je n’ai peut-être jamais revu Raynald par la suite, sinon peut-être au 50e anniversaire de tante Juliette et d’oncle Paul-Émile. Il y a plusieurs années, cependant, de passage un samedi au Marché de Laprairie, je m’étais arrêté au kiosque de la famille de Raynald et avais demandé s’il était présent. On m’a répondu qu’il était exceptionnellement absent en raison de son propre 50e de mariage qui était fêté ce jour-là! Vraiment pas de chance! Je vous offre à chacun et chacune d’entre vous comme à l’épouse, aux enfants, et aux autres proches de Raynald, mes plus vives condoléances pour cette grande perte d’une personne si chère. Je souhaite que vous ressentiez, une fois le premier choc passé, comme une nouvelle forme de présence de sa part, plus mystérieuse mais non moins réelle, et que vous en soyez quelque peu consolé. J’aurais aimé me joindre à vous tous et toutes ce samedi à l’église de Sherrington. Cela ne me sera malheureusement pas possible. Ma conjointe Yolande et moi avons eu la COVID il y a quelques mois, suite à ma courte présence dans un salon funéraire justement, et nous en avons gardé une fatigue persistante. Yolande est immuno-comprimée et il ne faudrait pas que la COVID nous rattrape une autre fois. Je me dois donc d’être extrêmement prudent. Je vous serai cependant présent de cœur, et vous salue bien chaleureusement. Avec affection, Michel