Il y a des Anges au Paradis pour l'accueillir
Lorsque j’ai su la nouvelle, ça m’a frappé. J’étais au courant de ses problèmes de santé, certes, mais je suis restée bouche-bée. J’ai ressenti du chagrin. Du chagrin pour ne pas avoir su le contacter ou lui rendre visite, au moins une fois avant qu’il m’ait oublié, ou même qu’il parte. Il a été présent pour nous durant toute notre enfance. Il a beaucoup donné pour nous et je l’en remercie. Ma mère était chagrinnée d’apprendre la nouvelle. Elle dit lui être très reconnaissante.
La mort, pour moi, n’est pas la fin. Son âme a accompli ce qu’il devait accomplir. Je suis certaine qu’il est bien là-haut, quoi que ses proches lui manquent probablement énormément.
Je pense à vous, aux proches qui sont restés avec Pete jusqu’à la fin. Votre force et votre courage sont admirables. Je pense à vous, aux proches qui doivent passer par les étapes du deuil. Sachez au moins que Pete ne souffre plus, qu’il est bien et léger de ne plus avoir à porter la lourdeur de la maladie. Sachez que ce qu’il souhaite de tout coeur, c’est que vous continuez à avancer dans la vie avec joie et bonheur d’avoir fait parti de la sienne.
Merci à toi également Suzanne, toi qui a été aussi présente que Pete dans notre vie d’enfant. Je vous suis reconnaissante de nous avoir accueilli chez vous quand nous en avions besoin. Je vous suis reconnaissante de nous avoir appris à aimer la campagne, les animaux, les fleurs, les plantes. Merci pour ce que vous avez fait pour nous.
Mes condoléances. Je pense à vous, à toi et à Pete et à tous ses proches qui ont été la pour lui, pour vous deux.